Créez un climat accueillant pour inviter le patient à se confier.
Il faut arrêter de croire que tous les patients HSH en font part à leur médecin.
Le comportement sexuel n’est pas indicatif nécessairement de la manière dont la personne définit son orientation sexuelle.
Un homme ayant des rapports occasionnels avec d'autres hommes ne s'identifiera pas nécessairement comme gay.
Ne faites pas de généralisations trop simplistes sur les besoins de chacun. La population gay n’est pas homogène, même si elle constitue une même communauté. Non, tous les HSH ne pratiquent pas le multi-partenariat et ne fréquentent pas des lieux festifs où il y a consommation sexuelle et pratiques à risques.
Trouvez une occasion favorable pour parler avec le patient de VIH/sida et des autres IST, et ainsi aborder avec lui les différentes stratégies de prévention et de réduction des risques.
Proposez si nécessaire un test de dépistage, en impliquant le patient dans le processus décisionnel.